MOSTRARE : Montrés du doigt par tous ceux qui ne pouvaient être comme eux, les monstres ou plus communément appelé les « Freaks » ont trouvés refuges dans le Freak Show d’Ogawa Masahiro. Grâce à cela, ils sont aussi issus d'une incroyable capacité de caché leur déficience physique -ou mentale- de par une grande faculté que leur a inculqué Ogawa Masahiro. Homme du divertissement mais aussi homme de science, le créateur a réussi à verser dans leur veine le pouvoir de se dissimuler dans la foule sans exposer leur « supériorité », comme il l'appelle bien souvent. Néanmoins, les plus jeunes d'âge et les plus vieux dans l'ordre de l'infusion sont les plus exposés à un problème imminent ; un trop pleins de sentiments diverses et ils ne peuvent plus contrôler leur changement. Ils passent le plus claires de leur temps sous les chapiteaux mais nous comptons aussi des intrépides bien trop gourmands qui résideraient auprès des habitants de Kyoto.

PERSONALIS : Ils agissent dans l’ombre, font partis de la masse mais ne sortent presque jamais du chapiteau. Ils sont ceux qui s’occupe des Freaks et qui se charge d’enlever également les civils si besoins.  Parmi eux résident de pauvres citoyens enlevés à leur vie bien paisible. Liés par le sang à Masahiro, le gérant du Freak Show, ils ne peuvent se défaire de leur rôle. Au final, ils ne savent pas ce qui les attend au bout du chemin de leur rédemption. Se sera une belle surprise, comme tout bon membre d’un cirque aime en faire.

JUSTITIA : Fidèles aux citoyens, ils sont ceux qui font ou qui veulent, faire régner la justice au sein de la ville. Prônant l’autorité et les droits, ils ont étaient regroupés il y a peu sous les ordres du jeune lieutenant de police de la ville, Kazushige Jin, en ce qui concerne les affaires du Freak Show. Investigateur, détective, inspecteur […] ils sont tous sur le coup pour tenter d’élucider les mystères qu’entour ce fameux chapiteau.

CIVILIS : Ce sont les habitants de Kyôto. Pauvres âmes qui subissent le climat d’incertitude présent depuis quelques mois à cause des enlèvements. Il y en a qui sont curieux, qui ose s’aventurer sous le chapiteau pour y voir les scènes données. – Certains chanceux qui le soir rentre chez eux avec des images leur volant dans l’esprit. D’autre un peu moins, qui se verront kidnappés. Et puis, il reste ceux qui ont peur, ceux qui ferme les yeux sur tout ce qui se passe. Ceux qui continuent leur vie le plus simplement du monde alors qu’au fond, ils  savent que le calme passé ne reviendra peut-être jamais.